14 déc. 2013

Les Luxurieux

A partir du 07 janvier 2014


Luxuria… Luxure… Luxurieux…
Cela sonne comme une déclinaison. 
Ou un mantra, charnel et voluptueux, que l’on pourrait se plaire à réciter.

Gageons que les habitués du Luxuria préféreront s’abandonner à la sensualité plutôt qu’en disserter.



Yin Yang


C’est sans aucun doute l’intention d’Axir, puissant démon à la réputation sulfureuse. 
Réputation fondée ou soigneusement entretenue ? 
Naalys, ange de son état et objet d’une cour assidue de la part du démon, ne va pas tarder à le découvrir.


*   *
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La Rédemption de l'Ange


Madimi aurait pourtant aimé pouvoir discuter avec Ylsi.
Brisé, l’ange refuse son aide et rejette les sentiments qu’elle nourrit pour lui.
Peut-être suffirait-il à la démone d’utiliser un autre langage pour l’atteindre. Celui du désir ?


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Action ou Vérité


Deux hommes. Deux ex-compagnons du même démon. 
L’un recherche l’amour, l’autre le fuit.
Ce qui peut les réunir, peut également les séparer.
Le mieux n’est-il pas de laisser s’exprimer leur attirance immédiate ?



*   *
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De A à X



Amanda, elle, n’a que le droit de se taire.
Pratiquement jetée en pâture à un démon chargé de la remettre sur le droit chemin, la jeune femme risque donc de découvrir à quel point elle s’était effectivement égarée. 
Peut-être est-ce là l’opportunité pour elle d’emprunter une autre voie. 
Celle, charnelle et exigeante, menant dans les bras de son maître absolu.



*   *
*


Le Baiser



Ami, mentor, amant et confident, en perdant la femme qu’il aimait, Siatris pense avoir tout perdu. Au point de pratiquement renier sa nature profonde. Mais un démon reste un démon. Siatris n’étant pas le moins charnel d’entre eux. Emmanuelle, sa ravissante nouvelle employée, paraît en tout cas tout à fait disposée à le lui rappeler.


12 août 2013

THEA - Chapitre 1





— Je… Moi aussi.
Venais-je réellement d’avouer à Téli que je l’aimais ? À en croire le regard presque incrédule qu’il plongea dans le mien après avoir relevé sa tête jusqu’ici nichée dans mon cou, je présume que c’était effectivement le cas. Ne le savait-il pas déjà ? Il connaissait pourtant tout de moi…


4 août 2013

Mots et Musiques

Pour ceux qui auraient envie de retrouver 
les musiques évoquées dans certains de mes écrits

(cliquez sur l'image)


9 juil. 2013

Vous l'attendiez...

                                                   ... Il est là.



THEA

disponible en format numérique dès aujourd'hui.

Sur le site des Editions ou les librairies en ligne.

Et en format papier sur le site Lulu.com




Bonne lecture !!

24 juin 2013

THEA bientôt disponible

THEA, 
tome 3 de la série Luxuria
sera disponible au téléchargement
dès le 09 juillet 2013


7 juin 2013

Luxuria Tome 3

C'est pour bientôt ! 
Je vous dévoilerai la date de sortie prochainement.
En attendant, voici la couverture et le résumé.



Quatrième de couverture :

Une déesse !
Voilà ni plus ni moins ce que Téli voulait que je devienne. Et vite fait !
En dépit de mon scepticisme, j’étais partante et pleine de bonne volonté, ne serait-ce que pour rabattre leur caquet aux Guetteurs. Cela étant, ce n’était pas comme si j’avais vraiment le choix.
Qu’est-ce que je risquais à essayer puisque tout le monde semblait persuadé que j’y parviendrais ? Certainement beaucoup moins que de jeter l’éponge, parce que dans cette partie de cartes qu’était devenue ma vie, j’avais quelques atouts dans ma manche, certains glissés dans mon jeu à mon insu.

Qui sait, peut-être que tout finirait par rentrer dans l’ordre ?


9 mai 2013

Éso... quoi ?




- Éso… quoi ?
- Ésotérisme !
- Qu’est-ce que c’est ?
- Étymologiquement, le terme désigne des choses intérieures.
Plus « populairement », fait référence à des enseignements cachés…
(Pour plus exhaustif, voir par ici )
- Aaaaaaaaaaaah OK, des trucs bizarres, paranormaux, des débilités en rapport avec les sciences occultes, la sorcellerie, la magie noire etc. etc.
- Oui mais non.

Au risque de me répéter et d’en agacer, l’ésotérisme c’est mon dada. Parce que je suis curieuse de nature, que j’aime comprendre et par moi-même qui plus est. Je ne goûte guère les dogmes et autres enseignements imposés. « Crois-ça » et «  Ne cherche pas à comprendre », personnellement ça me hérisse.
Ouh lààààà, terrain glissant…
Bref.

Mais j’ai un autre gros défaut : j’aime faire partager. 
Aussi, lorsque j’ai commencé à écrire, l’idée d’intégrer à mes intrigues certaines des notions ésotériques que j’avais pu étudier au cours des 20 dernières années m’est venue tout naturellement, soit en basant carrément ma trame sur un système de pensée, soit en semant ça-et-là quelques petites graines pour les curieux.

Oui, mais j’écris de la romance dite paranormale, alors forcément tout ce que je sème dans mes histoires est nécessairement pure invention tout droit sorti d’un imaginaire malade et bizarre, des trucs invraisemblables et totalement illogiques.

Vraiment ?

24 avr. 2013

Ce n'est pas sale...





« L’époque, quoi qu’ils en disent, est immorale (si ce mot là signifie quelque chose, ce dont nous doutons fort), et nous n’en voulons pas d’autre preuve que la quantité de livres immoraux qu’elle produit et le succès qu’ils ont. – Les livres suivent les mœurs et les mœurs ne suivent pas les livres. »
Théophile Gautier, Préface - Mademoiselle de Maupin.


Force est de constater que depuis quelques mois les romans érotiques (ou qualifiés de tels) déchainent les passions à défaut de faire naître la Passion.
Ma première réaction quant au tintouin fait autour de certains ouvrages a été une profonde perplexité. Ce n’est pas tant le fait que certaines lectrices semblent avoir découvert récemment (ou à tout le moins affirmé découvrir) qu’il existait une sexualité autre que celle, classique et pudique, se limitant à la position du missionnaire dans une chambre plongée dans l’obscurité, que de voir à quel point certains carcans, les « bonnes mœurs » comme on dit, sont encore tenaces… très tenaces.
N’ayant quant à moi pas lu, pour des raisons qui me sont personnelles, les romans auxquels fatalement vous n’aurez pas manqué de songer – coucou messieurs C.G. et G.C. – je ne me permettrai pas d’en faire une critique ni même de donner le moindre avis ou sentiment les concernant. Et de toute manière, tel n’est pas l’objet de ce billet ; plutôt les réactions que cela a généré.

En tant que lectrice de romances dites classiques et de romances paranormales entre autre, je sais donc que l’érotisme (ou la sensualité si vous préférez) y est très présent, dans un langage plus ou moins cru, avec des scènes plus ou moins détaillées et selon les cas dans un style plus ou moins « féminin » ou au contraire « viril » mais naturellement toujours associé aux sentiments. La volupté se trouve donc être l’un des ingrédients incontournable de ces deux genres au même titre que les beaux gosses ou les beaux ténébreux ou les écorchés de la vie sexy etc. etc…
Outre le fait que ces ouvrages, à quelques exceptions près, évoquent une sexualité somme toute assez classique… (il y a bien parfois quelques petits coquins plus fripons que les autres par-ci par-là) ils mettent systématiquement en scène des… ? Des… ? Des couples !
Aaaah le couple…
LE Couple, sacro-saint duo, seul calice semblerait-il au sein duquel le plaisir  aurait le droit de s’épanouir, s’exprimer, se sublimer grâce aux merveilleux pouvoirs de l’amour !!
Alors, lorsque vous vous avisez d’écorner, même un tout petit peu, cette image d’Épinal… vous voilà vite-fait relégué à la rubrique « pornographie »...
Et si, en plus, un texte, même sans oublier l’ingrédient sentiment met en scène une femme… (non vierge ??? impure ??? Je préfère nettement le terme expérimentée !!) assumant sa sexualité, s’avisant en outre d’avoir plusieurs partenaires pour lesquels elle n’a pas nécessairement de sentiments, parce qu’elle en a envie, recherche le plaisir pour le plaisir… à l’instar de certains hommes, libérée donc, là il semblerait qu’aucun mot ne soit assez fort pour qualifier l’infamie que cela constitue.

Loin de moi l’idée de faire ici une quelconque leçon de morale. C’est pourtant à l’ami Diderot que j’emprunterai quelques mots pour entrer  dans le vif du sujet :
« Le libertinage est la faculté de dissocier le sexe et l’amour, le couple et l’accouplement, bref, le libertinage relève simplement du sens de la nuance et de l’exactitude. » 
Le Libertin (Éric-Emmanuel Schmitt)

Ma motivation première n’était pas de faire de Luxuria une série érotique (je prends cet exemple car il est peut-être plus révélateur de mon point de vue et du message que je souhaitais faire passer que dans la série Siana, encore que…), il est néanmoins vrai que le libertinage et la sensualité y sont des composants présents, et, n’en déplaise à certains, justifiés. Mais d’une manière générale, ces deux sagas démontrent ma volonté de m’émanciper un peu des romances « classiques ».
L’idée d’écrire Luxuria (il y a quelques années déjà et surtout bien avant que les romans traitant de domination/soumission ne soient devenus autant « à la mode ») m’est venue à la suite d’une lecture où l’auteur montrait ce que pouvait être une relation SM mais qui personnellement heurtait ma propre vision de « la chose » et peut-être même ma sensibilité, parce que l’aspect esthétique que peuvent revêtir les pratiques SM (ou BDSM) était totalement occulté au profit d’une certaine violence et de la vulgarité, ce qui est d’ailleurs souvent le cas lorsque ces pratiques sont évoquées. Cela étant, ce n’est pas tant ce point que je souhaitais évoquer dans ce billet que le trio que l’héroïne et deux des démons mâles du roman y forment. Parce que je pense que c’est là que le bât blesse vraiment.
Voyez-vous, sans tomber dans certains excès du « Mouvement de Libération des Femmes », je reste profondément convaincue que les femmes n’en ont pas encore terminé (pour la plupart en tout cas et en dépit de ce que certaines disent) avec le joug des bonnes mœurs, d’une morale étriquée, de la domination masculine et ont encore du chemin à parcourir avant de pouvoir s’affirmer vraiment émancipées et accéder au plaisir pur et simple sans être jugées, ou au moins en arriver à accepter cette idée comme naturelle ou du moins admissible.
Vous n’êtes pas d’accord ?
Pourtant, il n’est qu’à voir (enfin… entendre) les cris d’orfraie poussés lorsqu’une héroïne de roman fait montre de la moindre liberté sexuelle surtout avec celui-qui-n’est-pas-officiellement-destiné-à-devenir-son-compagnon, quand elle couche avec un homme (ou plus) pour lequel elle ne ressent pas de sentiment, ou lorsqu’elle a des rapports avec deux hommes qu’elle aime pourtant sincèrement.

[ Petit rappel au passage, utile me semble-t-il au regard de ce que j’ai pu lire.
Partouze : Partie de débauche au cours de laquelle les participants (dont le nombre excède généralement quatre), pratiquent l'échange des partenaires et se livrent à des activités sexuelles collectives et simultanées.]

Avec un trio, (voir les notions de couples ouverts, polyamours ou amours plurielles… c’est loin d’être rare), où la femme est aimée et sincèrement respectée nous sommes donc encore loin de la partouze et même formidablement loin de la femme utilisée par des mâles lubriques. Parce que cela aussi est souvent pointé du doigt. Pourquoi dès que l’on évoque une femme assumant sa sensualité, sa sexualité, ses désirs, ses fantasmes, son corps… Paf ! Elle se transforme comme par magie en femme objet, honteusement utilisée, dégradée ? N’est-ce pas elle à ce moment-là qui tient les rênes justement ? Parce qu’en vérité, le sexe, s’il est source de plaisir, est aussi source de puissance, de pouvoir. Pourquoi ne toujours regarder les choses que par le mauvais bout de la lorgnette ?
Libérée ou libertine, une femme maîtrise son corps, décide de sa vie sexuelle et amoureuse, hors couple ou en son sein.

J’ai pu en outre constater (et cela m’a profondément troublée) que les premiers à défendre les droits de la femme sont aussi les premiers à huer, mépriser, juger même, une femme qui ne rentre pas dans le moule, une femme qui ne reste pas à sa place de femme : sous un cadre poussiéreux.

Alors, peut-être ceux-là n’auront-ils pas bien lu, ou n’auront pas voulu voir ce qui était vraiment écrit. Sans doute les barrières de sécurité de la société bien-pensante se seront bien vite élevées pour préserver de cette ignominieuse perversité leur très morale conception du couple, du sexe qui se doit d’être strictement régi par des codes parfois obsolètes.
« Autres temps, autres mœurs » ou mœurs d’un autre temps ?

Enfin, pour clôturer ce billet (j’espère que je n’ai perdu personne en route) j’aimerais aborder un très court instant les notions de perversité et de déviance sexuelle.
Deux termes liés à la notion de normalité elle-même édifiée sur des règles religieuses, sociales et culturelles… (et il n’y a pas si longtemps de cela en ce qui concerne le sexe, sur la santé mentale).

Les sociétés et donc les mœurs n’ont eu de cesse de changer au cours de l’histoire… ce qui était normal jadis ou ailleurs ne l’est plus. Ce qui vous paraît normal ne l’était pas jadis et ne l’est pas ailleurs.
Bigre, je crois bien que nous avons affaire à un cercle… vicieux. 

En conclusion, le mépris affiché, parfois hypocrite d’ailleurs, vis-à-vis de pratiques et de désirs recherchés par des personnes adultes et consentantes (ne nuisant à personne donc) me navre profondément.

Mais ça n’est que mon point de vue.

♂♀♂

 « Ce n’est ni dégradant ni sale. C’est une manière différente d’avoir du plaisir, ainsi qu’un moyen d’accéder à une autre sensualité. »
Sio, Luxuria


« Devais-je réellement me restreindre au prétexte que d’ordinaire on ne « doit » aimer qu’une personne ? Qui avait décrété cela ? Et de quel droit ? Pourquoi devait-il systématiquement y avoir des bornes, des interdits, des limites ? Parce que l’amour est un noble sentiment ? Était-ce moins sublime ou honorable d’aimer deux êtres, ou plus, plutôt qu’un seul ? En quoi cela pouvait-il être moins beau si ce que vous aviez à donner était sincère ? »
Sláine, Luxuria


« Peux-tu me dire qui a décrété que le sexe était une mauvaise chose ? Pourquoi une femme devrait se réfréner sous peine de passer pour une salope là où les hommes, pour être considérés comme virils, peuvent multiplier les aventures ? (…) À partir du moment où il y a désir mutuel, le plaisir reste le plaisir quoi qu’il advienne. Et ce sont des personnes à la moralité étriquée, des individus terrifiés par le pouvoir du corps et du plaisir qui affirment le contraire ! »
Téli, Khaos

24 mars 2013

Important


Attention !!

Luxuria réunit désormais les anciens tomes 1 et 2 

en un seul volume.. 

De ce fait, Khaos devient le tome 2 de la série.


12 mars 2013

Quelques nouvelles, comme promis

J'ai le plaisir de vous présenter les nouvelles couvertures de mes romans.

Je vous préciserai ultérieurement leur date de réédition.

A très bientôt
Frédérique